Un Défi têtes rasées, deux dates pour participer

Leucan propose plusieurs options pour relever le Défi têtes rasées dans le contexte sanitaire actuel. Peu importe la manière, il s’agit toujours d’un geste concret de solidarité envers les enfants atteints de cancer, rappelle l’association.

Les inscriptions sont ouvertes sur le site tetesrasees.com. Deux événements virtuels sont inscrits au calendrier, le 30 mai et le 19 juin. Larmes de joie, fous rires incontrôlables, silence imperturbable, le Défi têtes rasées de Leucan amène son lot d’émotions chez les participants.

Ceux-ci seront invités à se faire raser à la date de leur choix. Dans les deux cas, l’événement virtuel réunira tous les participants de la grande région de Montréal, incluant Laval, les Laurentides, la Montérégie et Lanaudière.

Le député de Saint-Jean à l’Assemblée nationale, Louis Lemieux, agira à titre de coprésident d’honneur pour la Montérégie. «C’est avec beaucoup de fierté que j’ai accepté sans hésiter, parce que le Défi m’émeut. Oui, je fais partie des émotifs et je m’assume parce que c’est tellement beau et bon de voir et de sentir autant de grandeur d’âme et de bonté», dit-il.

Émotions intenses

Qu’ils soient émotifs, nerveux, euphoriques ou sereins, les participants au Défi têtes rasées ne seront pas les seuls à vivre des émotions intenses au moment de leur rasage. Il est aussi possible de participer à l’événement en organisant un défi privé. On choisit alors la date, l’endroit, l’heure et l’envergure désirée. Ce genre de formule peut être réalisé en solo ou en groupe, à la maison ou ailleurs. Les institutions scolaires et les entreprises sont également invitées à organiser leur Défi, tout en respectant les normes sanitaires en lien avec la COVID-19.

Le Défi têtes rasées représente un geste important de soutien envers les enfants qui subissent, lors de la chimiothérapie, une modification de leur image corporelle par la perte des cheveux. Dès le diagnostic et à toutes les étapes de la maladie, Leucan leur offre des services distinctifs et adaptés auxquels s’ajoutent le financement de la recherche clinique et le Centre d’information Leucan.